Jour 33 : Let Glasgow flourish

Publié le par Vincent

Mardi 4 août :

 

Telle est la devise de Glasgow, jadis dynamique cité industrielle. Mais d'abord... 

un peu de compassion pour ce charpentier de marine, un rien distrait.

 

Central Station, la gare de Glasgow : pour moi c'est un retour dans une ville dont j'ai apprécié l'architecture industrialo-victorienne il y a déjà 13 ans.

 

De son âge d'or industriel (construction de navires et de locomotives, entre autres), Glasgow a gardé quelques beaux immeubles.

Et quelques magasins de luxe.

Pour le reste, et malgré la devise (méthode Coué?), il règne dans les rues une atmosphère de marasme économique.

 

 

L'arbre, le poisson, l'oiseau, la cloche, symboles de la ville.

 

Un joli pub vu de l'extérieur. Mais qui empeste la pisse... nous passons notre chemin.

 

 

Cute chérubin, isn't it?

 

Repas au pub The Scotia, le plus vieux de Glasgow toujours en activité depuis son ouverture en 1792. Les murs sont couverts de documents et photos retraçant l'histoire de Glasgow. On y mange bien, et en plus, pas d'odeur d'urine.

 

 

Un instant de recueillement au cimetière de Glasgow. Les tombes s'étagent à flanc de colline, jusqu'à la butte où les grands hommes du coin jouissent d'une vue remarquable, pour l'éternité.

 

Vue sur la cathédrale et l'immense hôpital.

 

La cathédrale St Mungo.


Magnifique plafond en bois, portant les armes des familles d'Ecosse.


 

Tombeau de Saint Mungo qui a évangélisé la région au 6e siècle, et fait l'objet d'un important pélerinage durant le Moyen-Âge.

 

L'oignon fait la farce.

 


 

Non loin de là, le château-musée expose sur le thème des religions.

Chivas? Non, Shiva ! Ah bon, tant pis...

 

Les lascars, ce sont les Indiens, qui représentaient au début du 20e sciècle une communauté significative à Glasgow.

 

La plus vieille maison bourgeoise de la ville, meublée fin Moyen-Âge.

 

La place centrale (George square?).

 

La Gallery of Modern Art. Regardez bien la tête de la statue à ses pieds.

 

Etonnant : au bord de la rivière Clyde, un monument rend hommage à Dolores Ibarruri, dirigeante du parti communiste espagnol sous le franquisme.

 

 

De retour à Inverkip, après une pause bière au pub local, nous croisons Jack, l'employé du port. Il nous propose alors de nous emmener voir quelque chose qui devrait nous intéresser...

Au cours de la seconde guerre mondiale, un navire français a coulé devant Greenock. Coulé par la maladresse de son équipage qui a laissé tombé une torpille au moment de la charger dans le canon. Balot, non?...

Une ancre-croix de Lorraine rend hommage aux soldats des Forces Françaises Libres morts dans les eaux écossaises.

 

Superbe vue sur la baie devant Greenock. Au fond, l'île de Bute.

 

Jack nous explique qu'un réseau de brasiers comme celui-ci couvrait toute la côte écossaise, de colline en colline, et permettait de prévenir la population de l'attaque des Anglais.

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